Les facteurs qui influencent la durée du cycle menstruel
” Le cycle menstruel est une activité cyclique de la fonction endocrine de l’ovaire qui se manifeste par l’écoulement de sang pendant deux à six jours, survenant de manière répétée tous les 28 jours ” : ça, c’est ce qu’on lit dans les livres de biologie ou de gynécologie, et c’est ce dont on rêve tou.tes. Retrouver tous les 28 jours le plaisir d’enfiler sa jolie culotte menstruelle Réjeanne, et vivre ses règles en toute sérénité … On en redemanderait presque !
Sauf que… les choses ne passent pas toujours ainsi, et s’il est vrai que la majorité d’entre nous sont réglées comme du papier à musique, d’autres vivent leur cycle menstruel sur un rythme beaucoup plus chaotique qui les met en état d’alerte rouge quasi permanent. Au risque de nourrir un stress qui lui-même favorisera l’irrégularité du cycle, etc, etc.
Petit point sur les principales causes des règles irrégulières, et comment s’efforcer d’y remédier.
C’est d’abord (et tout simplement) une question d’âge qui influe sur les règles
Rien de plus normal pour une jeune fille qui commence à avoir ses règles que d’avoir des cycles irréguliers : les niveaux d’hormones fluctuent énormément à cette période de la vie, et il faut parfois attendre plusieurs années avant que ne s’installe, à l’âge de 20 ans environ, un « rythme de croisière » plus paisible.
Vous abordez alors la trentaine, l’âge d’une plus grande régularité. Arrive derrière (pas trop vite quand même) la quarantaine qui marque déjà pour certaines le début de la préménopause, une période à nouveau marquée par des changements hormonaux, qui vont accentuer l’irrégularité des cycles jusqu’à ce qu’ils disparaissent complètement, vous serez alors ménopausée…
Au fait, savez-vous que dans votre vie de femme réglée, vous aurez (peut-être) acheté, utilisé et jeté dans la nature environ 10 000 protections hygiéniques ? Sauf si vous optez pour LA solution écologique et économique par excellence : les culottes menstruelles Réjeanne, aussi jolies et confortables qu’efficaces et sûres.
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Halte à la pratique excessive du sport
Et oui, l’organisme est une incroyable machine qui s’auto-régule en permanence en envoyant des signaux au cerveau : ainsi, si vous faites trop de sport, votre taux d’oestrogènes, directement lié au taux de masse graisseuse, risque de diminuer au point de provoquer des règles irrégulières, voire d’entraîner leur disparition. En gros, votre organisme va estimer qu’il n’a pas de quoi nourrir un bébé et du coup se mettre en pause pour faire des économies d’énergie ! Le problème sera le même si votre masse graisseuse est insuffisante du fait d’un régime alimentaire trop strict. De quoi calmer vos désirs de performance, non ?
Troubles alimentaires et risques d’aménorrhée
Qui dit troubles profonds du comportement alimentaire, et en particulier anorexie ou boulimie, dit automatiquement perturbations du cycle menstruel, voire aménorrhée.
L’anorexie génère en effet une carence sévère en oestrogènes, à l’origine d’un arrêt de l’ovulation et de l’atrophie de la muqueuse utérine. Dans le cas de l’obésité, l’absence d’ovulation est associée à un taux élevé et stable d’oestrogènes, sans secrétion cyclique de progestérone, ce qui cause un épaississement permanent de l’endomètre, à surveiller impérativement. Sans aller jusqu’à ces extrêmes, il est évident que le bon équilibre alimentaire contribue à la régularité des cycles.
C’est aussi une affaire d’émotions
Vous l’avez compris, notre cycle menstruel est régi par notre système hormonal dont l’équilibre fragile peut être ébranlé par la moindre secousse psychologique : stress, fatigue, dépression, état de choc, troubles du sommeil, mais aussi plus simplement hantise d’un examen ou excitation à la veille d’une fête attendue, sont autant d’états ou de circonstances qui, selon la sensibilité de chacun.e, vont venir perturber la régularité des cycles. Inutile de rajouter (mais on le fait quand même) que la consommation de tabac, alcool ou cannabis associée à ces moments ne fait qu’accentuer ces déséquilibres…
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Des médicaments qui peuvent avoir des effets secondaires
Autre source de déséquilibre du cycle menstruel, la prise de médicaments comme certains neuroleptiques ou antihistaminiques qui peuvent bloquer la survenue des règles en augmentant le taux de prolactine. Ou encore, le recours à certaines pilules ou DIU qui contiennent des progestatifs qui tendent à réduire, voire stopper, le flux menstruel.
Conclusion : soyez culottée !
Vous l’avez compris, entre le cerveau et les ovaires, il se passe beaucoup d’échanges, qui ont pour visée de réguler et équilibrer la production d’hormones tout au long du cycle menstruel. Ce dialogue sur l’axe « hypothalamo-hypophyso-ovarien » est inévitablement affecté par de multiples facteurs extérieurs, plus ou moins contrôlables, si bien que, chez beaucoup d’entre nous, le cycle menstruel est plus ou moins régulier, voire intempestif. Ajoutons à cela que selon les dernières études, les protections hygiéniques « classiques » (tampons et serviettes) contiennent toujours des résidus de produits chimiques à même de perturber à terme le bon fonctionnement du système endocrinien avec le risque de modifier le cycle menstruel… Bref, la conclusion s’impose : les culottes de règles Réjeanne sont vos alliées idéales pour vivre votre cycle menstruel en toute sécurité et sérénité !